mardi 17 février 2015

Joies et peines des transports parisiens...

Commençons par les joies, ça ira plus vite...

Les joies, c'est quand chaque vendredi, j'arrive à la maison et que je sais que j'ai 2 jours sans transports en commun !


Et les peines...

Quand je me fais bousculer, taper à coup de sac dans les mollets, le dos, même les bras quand des gros feignants balancent leur sac sur le portillon d'à côté pour ne pas sortir le Navigo du sac...

Quand je me retrouve à côté de quelqu'un qui pue ou respire la bouche ouverte et bien sûr, pue du bec,...

Quand je me retrouve à côté ou en face de quelqu'un qui doit déjà s'imaginer dans son salon et s'affale sur son siège...

Quand un abruti commence à m'expliquer qu'il doit empièter sur ma place et que je n'ai qu'à mettre mes pieds sous le siège car il chausse du 58... eh, bille de clown, je t'ai jamais croisé à la superette quand je veux l'article de l'étagère du haut hors de portée... chacun sa merde !...

Quand un autre abruti, ou le même !, lit Le Monde déplié en entier et m'empêche de lire mon livre de poche...

Quand les trains sont en retard à cause de la chaleur, du gel, des feuilles, etc...

Quand les trains directs sont courts aux heures de pointe... mais que l'annonce n'est faite qu'une fois l'omnibus parti et qu'il n'y a plus qu'à geler sur place un quart d'heure de plus...

Quand des touristes distraits oublient leur(s) bagage(s) et que le trafic est interrompu...

Quand des ouvriers trouvent aujourd'hui un obus de la seconde guerre mondiale près des voies...

Cerise sur le gâteau : la SNCF me conseille de différer mon voyage ! Ben oui, je rentrerai un autre jour du boulot... CQFD !!

Sur ce, bonne nuit 

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